Le budget 2008 du Conseil Général des Pyrénées-Atlantiques prévoit que 25 % de ses dépenses seront consacrées à des dépenses d'investissement.
La part de ces dépenses d'investissement dans le budget de l'Etat en 2008 ne sera que de 5%. Le constat est donc clair, aujourd’hui l’Etat n’a plus la volonté d’assurer la planification et le financement des investissements indispensables au pays et à la construction de son avenir. De fait, cette mission revient désormais à une collectivité locale telle que le Conseil Général dans des domaines aussi variés que les collèges, les routes ou le logement.
C’est donc dans les dépenses d’investissement et dans leur planification que se situe la marge de manœuvre déterminante du Conseil Général, c’est en ce domaine que des choix politiques forts doivent être opérés afin de relever les défis qui sont devant nous : emploi, solidarités, adaptation de notre modèle de civilisation aux enjeux écologiques et de développement durable, c'est en ce sens que les 9 et 16 mars, le choix de chacun compte.
La part de ces dépenses d'investissement dans le budget de l'Etat en 2008 ne sera que de 5%. Le constat est donc clair, aujourd’hui l’Etat n’a plus la volonté d’assurer la planification et le financement des investissements indispensables au pays et à la construction de son avenir. De fait, cette mission revient désormais à une collectivité locale telle que le Conseil Général dans des domaines aussi variés que les collèges, les routes ou le logement.
C’est donc dans les dépenses d’investissement et dans leur planification que se situe la marge de manœuvre déterminante du Conseil Général, c’est en ce domaine que des choix politiques forts doivent être opérés afin de relever les défis qui sont devant nous : emploi, solidarités, adaptation de notre modèle de civilisation aux enjeux écologiques et de développement durable, c'est en ce sens que les 9 et 16 mars, le choix de chacun compte.
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