Une autre politique pour changer la vie !


Marc Jubault-Bregler (PS) et sa remplaçante, Anne Castera (PRG)

mardi 22 janvier 2008

L'ouverture, la vraie

Le temps se gâte. Non, bien sûr, nous ne parlons pas de la météo de ce début de semaine. Au contraire, le soleil resplendissait hier sur notre département et c’est tant mieux. L’hiver est doux. Oui enfin pas pour tout le monde … Les chiffres des sondages sont comme les feuilles mortes, en ce moment ils se ramassent à la pelle pour Nicolas Sarkozy et François Fillon. Il semblerait même que ce dernier dépasse légèrement son chef. Il est vrai que le collaborateur numéro 1 de l’omniprésident ne dit plus rien. C’est encore le meilleur moyen de ne pas être (trop) impopulaire.

Du coup, Nicolas Sarkozy, pris de panique (« Quoi, les Français ne n’aiment plus ?), décide de battre la campagne à la recherche de sa popularité déjà perdue après moins d’un an de présidence. Aujourd'hui, il est à Pau. Quelles promesses va-t-il encore nous annoncer ? Il adore en faire. L’ennui, c’est qu’il aime encore plus ne jamais les tenir. Pouvoir d’achat ? Rien. Inflation ? Rien. Croissance ? Elle va diminuer en 2008 dit Mme. Lagarde. Baisses d’impôts ? Cela dépend pour qui, c’est-à-dire que l’immense majorité des Français ne sont pas concernés. En plus, ces baisses inconsidérées aggravent le déficit de l’Etat et son endettement, qui avait déjà explosé sous Jacques Chirac.

Homme de terrain, Marc Jubault-Bregler entend les craintes et les doutes de bon nombre d’entre vous. Il écoute aussi les premières déceptions de ceux qui avaient placé leur confiance en Nicolas Sarkozy. A ceux là, il dit ne pas s’étonner d’une telle déception et leur explique qu’il ne faut pas désespérer de la politique. Ce grand illusionniste qu’est le président avait cru tromper tout le monde en appelant auprès de lui des gens de gauche, ce qu’il a appelé l’ouverture. Mais son ouverture à lui n’est qu’un leurre destiné à faire passer une politique de droite, injuste et inefficace pour résoudre les maux dont souffre le pays.

Marc s’adresse aux électeurs déçus de la droite. Il sait que l’actuelle majorité départementale n’a pas tenu ses promesses, notamment en matière sociale et de développement économique. Il les appelle à l’ouverture mais la vraie. Celle qui est fondée sur un projet humain et réfléchi, qui n’oublie et ne rejette personne. Un projet sans sectarisme, qui croit que l’on peut redistribuer justement ce que l’on produit efficacement.

Dans le canton de Pau Sud comme ailleurs dans le département et en Aquitaine, essayons le changement.


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